Consulter un psychologue pour aller mieux
Bénéficier d'une écoute attentive et être soutenu par un psychologue peuvent aider à retrouver bien-être, équilibre et confiance en soi.
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![Depuis février 2024, les enfants et jeunes jusqu'à l'âge de 23 ans inclus ne doivent plus rien débourser chez un psychologue conventionné avec un réseau de soins en santé mentale. (c)AdobeStock](https://www.enmarche.be/files/library/import/2024/1723/16-17-soins-psy-AdobeStock.jpeg?thumb=mosaic-slide)
Maladies chroniques
En août et septembre derniers, En Marche se faisait l’écho d’un appel lancé aux personnes à qui le médecin prescrit des vitamines, minéraux et compléments alimentaires pour soigner leur maladie chronique. Nombreux ont été les membres de la MC et d'Altéo à répondre cette enquête.
Identifier au mieux les besoins des malades chroniques à propos des suppléments en vitamines ou minéraux. Tel est l'objectif de l’enquête initiée, l'été dernier, par l'Observatoire des maladies chroniques dont la Mutualité chrétienne et son partenaire Altéo (mouvement social de personnes, malades, valides et handicapées) sont des membres actifs. Ces compléments alimentaires sont aujourd’hui à charge totale du patient, en dehors de quelques rares exceptions. Ils ne bénéficient pas de l’intervention de l’assurance soins de santé obligatoire.
L'enquête menée en ligne et par voie postale s'est clôturée le 31 octobre. La MC et son partenaire Altéo ainsi que Ziekenzorg (du côté néerlandophone) ont reçu plus de 600 réponses au questionnaire diffusé. C’est déjà un indicateur important de l’intérêt pour cette question. Parmi d’autres éléments recueillis, épinglons les maladies les plus citées : douleurs chroniques, arthrose et arthrite, fibromyalgie, dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA), maladie de Crohn. Les produits les plus utilisés sont les vitamines D et B, le magnésium et le fer (tant seuls que combinés à d’autres produits). Côté finances, un premier examen, qui reste à affiner, révèle que l’achat de ces produits coûte en moyenne 62 euros par mois à chaque patient. L’un d’entre eux dépense jusqu’à 253 euros par mois pour ces suppléments et compléments.
À présent, ces données sont en cours de consolidation avec celles récoltées par les autres mutualités et associations de patients regroupées au sein de l’Observatoire. Une analyse détaillée s’entame avec l’aide de sa section scientifique. Sur cette base, des recommandations seront émises par l’Observatoire auprès des instances de décision. La MC vous tiendra informés, via En Marche, dès que ces résultats et conclusions seront connus.
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